Et si le vrai progrès, c’était de retirer le pouvoir à ceux qui vivent de nous le prendre?
Après l’agriculture et l’abolition de l’esclavage, la prochaine grande étape de l’humanité sera l’abolition du pouvoir politique.
La paix
Choisir le dialogue plutôt que la violence.
Résoudre les conflits sans coercition est la base de notre philosophie.

Le partage
Distribuer ce qui libère.
Les ressources sont mises en commun pour favoriser l’émancipation de chacun.

l’entraide
Bâtir ensemble, volontairement.
La coopération libre est le fondement d’une société humaine et durable.

la liberté
Vous n’appartenez à personne.
Votre vie, vos choix, vos responsabilités: la liberté commence ici.

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LE VOLONTARISME: UNE ALTERNATIVE POUR UN NOUVEAU MONDE
Et si nous repensions entièrement la manière dont notre société fonctionne?
Aujourd’hui, presque tous les aspects de nos vies; santé, éducation, justice, économie, sont gérés par un État centralisé, fondé sur la coercition, la dette et l’obéissance. Ce système, présenté comme nécessaire, engendre pourtant des abus, de l’injustice, et une profonde désillusion.
Le volontarisme propose autre chose:
Une société fondée sur la liberté individuelle, la responsabilité, et des interactions volontaires entre êtres humains.
Pas d’agressions. Pas de vols légalisés sous forme d’impôts. Pas de domination politique.
Juste des principes simples, universels, que nous connaissons tous depuis l’enfance:
- Ne pas voler
- Ne pas mentir
- Ne pas agresser
- Respecter ses engagements
- Se défendre uniquement si l’on est attaqué
C’est à partir de ces bases morales que nous croyons possible une troisième grande évolution sociale, après l’essor de l’agriculture et l’abolition de l’esclavage:
→ La sortie pacifique du système étatique.
Le volontarisme n’est pas un rêve utopique. C’est une philosophie vivante, concrète, qui inspire déjà des initiatives réelles. Il ne s’agit pas de chaos, mais d’un nouvel ordre fondé sur le consentement mutuel, l’entraide et l’intelligence collective.
Et si l’avenir de l’humanité ne résidait pas dans plus de lois, mais dans plus de liberté?
À l’origine: une idée, un livre, un projet
« Quitter la matrice québécoise »
Résumé de la situation au Canada
Égalité ou liberté : il faut choisir.
Aleksandr Soljenitsyne, dissident du régime soviétique et survivant du goulag, résume en une phrase ce que des siècles de philosophie politique ont tenté de cacher :
« Les êtres humains naissent avec des capacités différentes. S’ils sont libres, ils ne sont pas égaux ; s’ils sont égaux, ils ne sont pas libres. »
Cette vérité dérange. Elle heurte les utopistes, les planificateurs sociaux, les ingénieurs de l’âme humaine. Car elle brise le mythe fondateur de toutes les idéologies collectivistes : celui que l’égalité est à la fois possible et désirable.
Dans la réalité, les humains diffèrent, par leur tempérament, leur intelligence, leurs talents, leurs goûts, leur volonté. Vouloir les rendre « égaux » dans leurs résultats, c’est forcément nier leur liberté d’être eux-mêmes. Cela suppose une autorité qui nivelle, qui impose, qui punit les forts et compense les faibles, non pas par compassion, mais par décret.
Et cette autorité, c’est l’État. Un État qui prétend « corriger » les injustices naturelles finit par en créer de bien pires : injustice d’imposer à l’un ce qu’il n’a jamais consenti, injustice de prendre les fruits du travail pour les redistribuer selon une morale artificielle, injustice de briser les ailes de ceux qui pourraient s’envoler.
La liberté n’est pas l’ennemie de la justice. Elle est la condition nécessaire de toute véritable dignité. Être libre, c’est accepter que les hommes ne seront jamais égaux dans leurs accomplissements, mais qu’ils doivent l’être en droits naturels, à la propriété, à l’intégrité, à la responsabilité.
Le volontarisme ne propose pas l’égalité forcée, mais la coopération volontaire. Pas la redistribution imposée, mais l’entraide libre. Pas la soumission à une autorité centralisée, mais le respect mutuel entre individus souverains.
Une société libre n’est pas parfaite. Elle est humaine. Mais c’est la seule dans laquelle chacun peut véritablement devenir ce qu’il est, sans chaînes, sans mensonge.
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